Vol libre

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Parapente

En parapente, pas besoin de posséder des montagnes pour s’envoler ! Et ça nous arrange bien car les reliefs restent rares dans la Vienne. Pour parer à cette iniquité géographique, les pratiquants décollent avec le même équipement qu’en montagne (ailes, sellette…), mais sont treuillés par une voiture (treuil dévidoir) ou par un moteur qui enroule un câble (treuil fixe). Les pilotes y sont accrochés au moyen d’une largeur. Dès qu’ils ont atteint une certaine altitude (entre 300 et 700 m), ils larguent le câble et volent en liberté ! Le jeu ensuite consiste à «  chasser  » les thermiques, de l'air chaud ascendant, en essayant d’imiter les oiseaux pour voler le plus longtemps ou le plus loin possible.

• 2 clubs école
• 12 pilotes biplace
• 2 moniteurs
• 1 comité départemental de vol libre

Paramoteur

Voler sur des machines ultra légères vous transporte aux sources du pilotage, une création de trajectoire dans les trois dimensions pour laquelle s’allient la rigueur des procédures et l’interprétation des sensations. Le vol en ULM est assurément un sport de glisse pour lesquelles l’environnement fait partie intégrante de la richesse de pratique. Issue du vol libre dont le deltaplane était l’unique représentant dans les années 1970, l’adaptation de moteurs sur de simples ailes delta, en 1975, fait naître cette nouvelle catégorie d’appareils volant. L’univers des ultralégers motorisés se caractérise par sa diversité. Cette pluralité permet de proposer une activité adaptée aux attentes des pilotes. Pour les amateurs de voyage, l’utilisation du trois axes aux allures de petit avion et à la vitesse de croisière élevée, pour les fanas de pilotage en plein air, l’agilité des machines pendulaires, aux découvreurs de sites, la facilité de transport et de mise en œuvre du para moteur, quant aux amateurs de sensations particulières, l’autogyre demeure l’appareil idéal capable d’évolutions dans des périmètres réduits à l’extrême.